velofou
lundi 12 avril 2021
mardi 4 décembre 2018
Sur la pauvrété du réseau férroviare
du département de la broderie territoriale
Cette image, qui est passé dans les flux que je guette aux réseaux sociaux, a l'air de la vérité :
Elle illustre un processus de centralisation et appauvrissement du réseau ferroviaire de la France à travers le vingtième siècle. Le réseau routière clairement prioritaire à nos chers dirigeants, parce que les fordistes n'oublient jamais leur règle de base : tout le monde doit acheter une voiture, et l'en utilise autant que possible : on a des hydrocarbures* pour vous vendre !
L'image m'a rappelé l'expérience publié il y a quelques années par des chercheurs qui ont administré des stupéfiants au araignées, et observé les toiles qui résultent :
*Ou, bientôt, de l’électricité. Selon un ami au bar le vendredi soir, EDF a calculé que le parc français de centrales devrait augmenter *énormément* de remplacer la moteur thermique. Je n'ai pas eu le temps jusqu'à ici pour préciser le calcul, mais il a sans doute raison.
Mise à jour 10h28, 11/06/2019: https://twitter.com/JuliuzBeezer/status/1138361159550214144?s=09
samedi 17 novembre 2018
Enfilé avec mon gilet
du département de la grogne générale
Mon exploration de la région charantaise était egayée par la manifestation des gilets jaunes aujourd'hui. Je me trouve ce weekend à Tonnay-Charente (17) : le SuperU du coin reporté bloqué, donc ma première visite du jour était sur le contournement du village, lieu des grand surfaces du bled. Clairement mes infos n'étaient pas fausses :J'ai parlé avec les manifestants : "une taxe de trop", "il faut montrer la colère des français". D'une certaine manière je sympathise : en milieu rural ce n'est pas évident comment vivre sans voiture. Donc la hausse de prix de carburant touche un budget contraint, les économies se faisaient ailleurs : nourrir les enfants s'est aussi chercher la bouffe de loin. Un m'sieu m'explique que le chauffement du climat s'explique par les trainées de condensation des avions (en fait non). Je n'ai pas resté longtemps évidemment. Conditions routières assez génial pour le cycliste alors : très peu de véhicules motorisés circulaient aujourd'hui. Plus tard j'ai trouvé ma bagnole de rêve :
En attendant la lumière !
dimanche 21 octobre 2018
Le déni de la distance
Mon nouvel statut d'intervenant à une grande école me plaît. Parmi les options proposées aux étudiants master 1/master 2 à l'ENSA de Nantes serait un "mini-studio" qui traite sur la mobilité urbaine. Mon engagement en tant que "expert étranger" ou peut-être "étrange expert" représente la génie du casting dans la république : mon français à l'orale désormais suffisamment fluide d'être dangereux, j'essaye de lâcher la balle directement entre les yeux des jeunes riches. (Il faillait des parents riches d'être Bac +5 ; ainsi se reproduit les classes sociales de la France).
Je maîtrise mon dégoût parce que les séances déroule à vélo—enquêter sur l'infrastructure serait inutile autrement—donc chaque participant devient aussi pratiquant de ma religion à qu'il serait mon obligation de rendre solidarité.
Évidemment nous sommes tous addicts à la pétrole, la gaz d'échappement d'une moteur thermique toxique, climaticide et cetera. C'est bien connu ; je leur dit le premier après-midi. Mais ce n'est pas à cause du manque d'une voiture électrique pratique, 100% chargée d’énergie renouvelable, que la bagnole du particulier serait impossible en ville. Le problème s'agit de la répartition d'espace urbaine. Bref, une voiture est garée 93% du temps, chacune prend au moins 16 m² de place ainsi rangée, les parkings alors étalent la ville, nuisant la densité si prisé pour la convivialité possible quand toutes les activités de la vie sont possible à pied ou à vélo.
Notre premier atelier s'est bien déroulé ; un boucle dans la ville de Rezé. Notre objectif, une nouvelle programme de logements en périphérie dont l'architecte responsable apparemment se vante de son aménagement pour le vélo.
Bon, nous sommes y allés sous un beau soleil. Je regrette mon choix costard : avec le vélo cargo chargé d'un vélo pliant, j'étais obligé d'enlever ma cravate au kilomètre 6 du parcours. Nous acceptons pour quelques moments l'hostilité des quatre voies du pont de trois continents ; je fais des remarques caustiques sur la pourriture par la voiture de la place devant l'église du bourg de Rezé (boulangerie fermée le mercredi, rattrapage chez M. U Les Couëts exigé). La pique-nique sous les arbres qui allongent les bords de la Jaguère agréable.
À 13h30 nous partons tous au site ; des logements ordinaires, cette à dire des façades relevées avec le choix de matériaux "originales", l'impression de salubrité intérieure. Mais le mensonge de son adaptation des requis contemporains écologiques puisse être déconstruit avec quelques images. Oui, il y a des appuis pour le vélo (en pleine vue : on ne laisse pas le Colnago la nuit) :
mais un champs vert est disparu pour la construction:
Situé en proximité à la périphérique, à 1,5 km de la porte de Retz, son commodité pour l'automobiliste avoué serait évident, alors que les amateurs de transport en commun attendront normalement une bonne demi-heure pour le 98 et le privilège d'attraper un tram à Pirmil:
Même si le site n'est pas encore complètement occupé (certain bâtiments restent à finir), le nombre des bagnoles garées dans la rue devant est évident :
La sensation psychogéographique ordinaire en banlieue se reproduisait : une aliénation suscité par la domination fordiste, qui n'était pas de tout soulagé par le pansement de quelques appuis vélos de bonne qualité, chacun en tout cas situé à 5 km du centre ville de Nantes, et donc hors cadre de la politique (débile) de la métropole que le vélo s'agit "d'un transport de proximité" (pour les trajets <2km).
J'ai aussi rappelé cette excellente effusion sur carfree.fr, qui fait l'analyse des images de promotions immobilières, et la réalité une fois les biens sont occupés.
En avant l'apocalypse !
Je maîtrise mon dégoût parce que les séances déroule à vélo—enquêter sur l'infrastructure serait inutile autrement—donc chaque participant devient aussi pratiquant de ma religion à qu'il serait mon obligation de rendre solidarité.
Évidemment nous sommes tous addicts à la pétrole, la gaz d'échappement d'une moteur thermique toxique, climaticide et cetera. C'est bien connu ; je leur dit le premier après-midi. Mais ce n'est pas à cause du manque d'une voiture électrique pratique, 100% chargée d’énergie renouvelable, que la bagnole du particulier serait impossible en ville. Le problème s'agit de la répartition d'espace urbaine. Bref, une voiture est garée 93% du temps, chacune prend au moins 16 m² de place ainsi rangée, les parkings alors étalent la ville, nuisant la densité si prisé pour la convivialité possible quand toutes les activités de la vie sont possible à pied ou à vélo.
Notre premier atelier s'est bien déroulé ; un boucle dans la ville de Rezé. Notre objectif, une nouvelle programme de logements en périphérie dont l'architecte responsable apparemment se vante de son aménagement pour le vélo.
Bon, nous sommes y allés sous un beau soleil. Je regrette mon choix costard : avec le vélo cargo chargé d'un vélo pliant, j'étais obligé d'enlever ma cravate au kilomètre 6 du parcours. Nous acceptons pour quelques moments l'hostilité des quatre voies du pont de trois continents ; je fais des remarques caustiques sur la pourriture par la voiture de la place devant l'église du bourg de Rezé (boulangerie fermée le mercredi, rattrapage chez M. U Les Couëts exigé). La pique-nique sous les arbres qui allongent les bords de la Jaguère agréable.
À 13h30 nous partons tous au site ; des logements ordinaires, cette à dire des façades relevées avec le choix de matériaux "originales", l'impression de salubrité intérieure. Mais le mensonge de son adaptation des requis contemporains écologiques puisse être déconstruit avec quelques images. Oui, il y a des appuis pour le vélo (en pleine vue : on ne laisse pas le Colnago la nuit) :
mais un champs vert est disparu pour la construction:
Situé en proximité à la périphérique, à 1,5 km de la porte de Retz, son commodité pour l'automobiliste avoué serait évident, alors que les amateurs de transport en commun attendront normalement une bonne demi-heure pour le 98 et le privilège d'attraper un tram à Pirmil:
Même si le site n'est pas encore complètement occupé (certain bâtiments restent à finir), le nombre des bagnoles garées dans la rue devant est évident :
La sensation psychogéographique ordinaire en banlieue se reproduisait : une aliénation suscité par la domination fordiste, qui n'était pas de tout soulagé par le pansement de quelques appuis vélos de bonne qualité, chacun en tout cas situé à 5 km du centre ville de Nantes, et donc hors cadre de la politique (débile) de la métropole que le vélo s'agit "d'un transport de proximité" (pour les trajets <2km).
J'ai aussi rappelé cette excellente effusion sur carfree.fr, qui fait l'analyse des images de promotions immobilières, et la réalité une fois les biens sont occupés.
En avant l'apocalypse !
dimanche 16 septembre 2018
samedi 13 janvier 2018
M. Marchand prend sa retraite
du département de documentation des recordmans
pic: Conseil Départmentale d'Yvelines (CC-BY) |
Ses accomplissements me touche personnellement—enfin j'ai un objectif sportif sérieux à cibler―mais aussi comme scientifique : lors de son entraînement les physiologistes ont mesuré de manière objective une évolution importante dans ses capacités aérobiques (PDF, EN), un fait qui intéressera tout gérontologue.
Je lui souhait une longue et heureuse retraite !
lundi 19 juin 2017
Galère ordinaire chez SFR
du département des petits problèmes de la vie moderne
J'essaye d'activer ma nouvelle carte SIM (qui reste "la propriété incessible de SFR") ; mais ce ne serait pas possible sans mot clé ; qui arrive par SMS apparemment ; mais on ne peux pas recevoir des SMS sans activant la carte SIM ! Petit problème avec le système là ?
J'ai attendu 30 mins à l'appareil pour parler avec quelqu'un à SFR (aux services ventes : il m'a semblé la meilleure possibilité d'entendre la voix humaine chez eux) ; bien sûr, madame me donne un autre numéro (le 08 09 400 235, qui n'était pas signalé sur les instructions fournit avec la carte SIM) ; j'y entends une message vocale qui m'informe cette service était fermé il y a 25 minutes. Galère. Pendant ce temps je n'ai pas de service portable.
Demain serait un autre jour. La lutte ne cessera pas. Je regrette déjà d'avoir migré du Free.fr vers la SFR à la recherche d'un abonnement de prix raisonnable qui permet l'envoie occasionnel des SMS hors de la France.
Mise à jour 19h44 20/06/17 : Soupçons que ma ligne n'a pas été activée jusqu'au mon appel d'hier soir ; aujourd'hui le numéro 1023 chez SFR a reconnu mon numéro de portable ; enfin c'était possible de parler avec un gentil m'sieu à l'écoute ; en vérifiant tous les étapes d'activation avec lui à mon côté, j'ai découvert un menu obscur dans Android qui offre la possibilité d'un "search automatically for networks" (au lieu de l'ancien) et voilà ! Mes textos arrivent. Pouf! J'aurai bien avoir eu un numéro direct vers lui hier soir.
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du département de la critique des aménagements cyclables séparatistes à Nantes
Il y a quatre ans, j'étais motivé de contribuer ce commentaire au site carfree.fr, qui propose les textes militants contre la domination automobile de notre société actuelle. L'article en tête promeut l'aménagement de la voirie en réduisant l'espace dédié à la voiture en faveur des pistes cyclables séparatistes. Même si des telles développements routiers puissent être progressifs dans certains endroits, cette politique est à critiquer dans plusieurs respects importants, et j'ai ajouté une deuxième remarque qui témoigne l'expérience nantaise dans la discussion en-dessous de la ligne. Elle est reproduite ici afin de augmenter l'aise d'y retrouver.
Ce commentaire est aussi disponible en anglais.